Dans l'indifférence générale, deux tiers des zones humides ont disparu au XXe siècle sous le béton, les remblais, les routes ou les drains agricoles. Et ça continue encore. Notre avidité foncière ne trouve plus que ces zones à se mettre sous la dent, au risque de pénaliser sévèrement le collectif en le privant des mille services qu'elles rendent gratuitement.
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