mardi 10 mars 2015

Infos en français - La propagande atlantiste de ‪#‎HRW‬ ‪#‎HumanRightsWatch‬ Human Rights Watch sur la ‪#‎Syrie‬ et l'‪#‎Ukraine‬


La propagande atlantiste de ‪#‎HRW‬ ‪#‎HumanRightsWatch‬ Human Rights Watch sur la ‪#‎Syrie‬ et l'‪#‎Ukraine‬


via http://ift.tt/1AfBOs1


"HUMAN RIGHTS WATCH (HRW)


lance une campagne de propagande anti-syrienne sectaire. Elle accrédite l’idée que le gouvernement syrien aurait utilisé des barils d’explosifs, armes inhumaines, contre des civils. HRW accuse également le gouvernement syrien d’avoir utilisé sans discernement des roquettes improvisées contre des civils alors qu’il est avéré que ce sont les « rebelles modérés » qui les ont utilisées. Le 4 mars, Human Rights Watch a envoyé ce tweet : Selon HRW, l’image de la ville détruite dans ce tweet montre des « barils d’explosifs » employés par l’armée syrienne, malgré le fait que ces armes soient bannies. Or, ce n’est pas le cas : il s’agit en fait d’une photo publiée dans le New York Times (NYT)… le 13 février 2015 ! La légende du NYT précise : « La ville à majorité kurde de Kobané est dévastée après des mois de siège par les forces islamistes et des frappes aériennes par une coalition menée sous la direction des États-Unis. » Les informations d’identification (références et crédit) de l’image sont : « Bulent Kilic / Agence France-Presse – Getty Images ». Il est évident que ce sont les bombardements américains massifs qui ont détruit la ville de Kobané. Pour HRW, les États-Unis n’ont jamais utilisé de « barils explosifs » improvisés balancés depuis des avions et des hélicoptères. En vérité, ils ont déjà utilisé de tels « barils explosifs » de façon massive au Vietnam (http://ift.tt/1AfBOs4; f006f1ce77cf). « Les barils d’explosifs » syriens n’ont pas détruit la ville de Kobané. Elle a été détruite par des bombes larguées par les forces aériennes américaines. Les dégâts et dommages causés par ces bombes pourraient difficilement être comparables à d’autres engins destructeurs : en effet, ces « bombes tonneau » jetées des hélicoptères en vol ou stationnaires sont probablement beaucoup plus précises que les bombes non guidées larguées par des avions de chasse. Le tweet de HRW est frauduleux à un autre titre. Il renvoie à un article du 24 février du NYT, entendu que cet article confirme l’affirmation de HRW. Or cet article du NYT n’est pas neutre. Le rapport dont il parle intitulé « La Syrie largue des bombes baril en dépit de leur interdiction, selon un rapport », est un rapport de HRW sur les bombes barils en Syrie. En fait, le tweet de HRW renvoie ses lecteurs à son propre rapport comme s’il s’agissait d’un lien vers une source indépendante ! HRW éprouve donc le besoin d’utiliser une photo des destructions commises par les « bons » Étasuniens pour illustrer les destructions causées par la « méchante » armée syrienne dans sa lutte contre les jihadistes soutenus par les États-Unis ! L’image n’est évidemment pas le seul élément sur lequel HRW nous trompe. À noter que ce n’est pas la première fois que HRW utilise des photos du mauvais camp. En octobre 2014, l’ONG a utilisé l’image d’une femme qui pleurait la mort des fédéralistes ukrainiens brûlés vifs par des hordes nazies à Odessa pour appeler à prendre position contre les politiques répressives de Poutine.


Source :/http://ift.tt/1G6cpJf













from L'Info Autrement's followed topics | Scoop.it http://ift.tt/1wreTi9

via IFTTT

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire